La réutilisation des eaux usées en irrigation agricole ajoute une ressource marginale en eau et évite leur rejet polluant en rivière. D’origine domestique, elles contiennent des virus entériques de l’homme incriminés dans des épidémies transmises par les aliments, l’eau et l’air.
Les principaux objectifs du projet sont :
La modélisation doit favoriser la transposition des résultats à d’autres contextes.
Les trois work-packages visent à répondre à chacun des trois objectifs du projet :
L’équipe dispose de méthodes pour éluer, concentrer et purifier les virus présents dans l’eau ou au niveau de végétaux, et leur ARN/ADN du sol. Des protocoles ont été définis pour suivre leur devenir in situ après rejet ou réutilisation d’eau usée, et sous serre selon l’irrigation. En serre après irrigation, la contamination initiale d’oignons verts est importante. Le type d’irrigation affecte la contamination de surface, pas celle internalisée. Leurs abattements ultérieurs résulteraient du lavage par irrigation non-contaminante ultérieure et du transfert dans la plante.
WP1 : Contaminations de cultures irriguées par des eaux usées ou conventionnelles. Traitement des données ;
WP2 : A réaliser en accordant plus d’importance que prévu à l’inactivation dans le sol (au vu des résultats du WP3) ;
WP3 : Compléments de caractérisations sur l’inactivation des virus.